À papa
– J’écris le mot agneau
Et tout devient frisé :
La feuille du bouleau,
La lumière des prés.
– J’écris le mot étang
Et mes lèvres se mouillent :
J’entends une grenouille
Rire au milieu des champs.
– J’écris le mot forêt
Et le vent devient branche.
Un écureuil se penche
Et me parle en secret.
– Mais si j’écris papa,
Tout devient caresse,
Et le monde me berce
En chantant dans ses bras.
Maurice Carême
elle est un peux long
Elle est trop bien cette poesie je l’aime trop
Anonyme ill est faux ton commentaire car le poeme ets pas du tout lonng … en tout cas pas comme un livre de 100 pages.
desoler j ai fais des fautes car je suis presser …
A quel moment ça prend plus de temps d’écrire sans erreur ?